Notes: | CR de Ph. Merlan
Le temps et l'éternité chez Plotin et saint Augustin
Gnomom 12 (1936), 534-537
Sans méconnaître de que le volume de Guitton a de pénétrant, le recenseur estime qu'il est trop unilatéral. On ne doit pas ne voir entre Plotin et Augustin que l'opposition. Il n'est pas possible de pousser si loin l'antithèse sans supposer qu'Augustin s'est ordinairement mépris sur le sens de la philosophie plotinienne. L'excès du livre de Guitton vient sans doute de la limitation de son sujet: en n'examinant qu'un point précis on risque de fausser la perspective de l'ensemble. |