La crítica de San Agustín a la noción ciceroniana de 'republica'
Le point de départ de ce travail est une confrontation des défintions cicéronienne et augustinienne de 'république' dont la clé est l'harmonie fondée sur la justice. Le travail met en évidence les différentes acceptions de la notion de justice dans les deux cas. Politiquement c'est pour Cicéron le c...
Author: | Silvia A. Magnavacca |
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Published: |
S.n.,
s.l.,
1982
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Pages: | 47-62 |
Periodical: | Patristica et mediaevalia |
Number: | 3 |
Format: | Article |
Topic: | -
Biography
>
Relations and Sources
>
Platonism - Neo-platonism
>
Platonism of Varro, Cicero and Virgil
>
Cicero
- Doctrine > Social Life > [Sociologie. Cité terrestre. Politique] > [Augustin et la Rome antique] > Rome - Doctrine > Social Life > [Sociologie. Cité terrestre. Politique] > [Église et État. Pouvoir civil] > [Prince souverain] > [République] |
Status: | Needs Review |
Summary: | Le point de départ de ce travail est une confrontation des défintions cicéronienne et augustinienne de 'république' dont la clé est l'harmonie fondée sur la justice. Le travail met en évidence les différentes acceptions de la notion de justice dans les deux cas. Politiquement c'est pour Cicéron le corps juridique qui appartient à une communauté, fondé sur le droit naturel. Augustin la voit comme le juste rapport de l'homme vis à vis de Dieu. L'Auteur démontre que 1) de fait, en surélevant la caractérisation cicéronienne de république' et en l'élévand à un ordre supérieur et plyus universal que l'ordre juridico-politique, Aug. n'invalide pas ce qu'a été affirmé par Cic. à ce sujet; b) le propos d'Aug. n'a été de refuser sinon d'utiliser le prestigieux concept élaboré par Cic., en modifiant sa signification, pour disposer ainsi d'un autre nom glorieux avec lequel désigner la Cité de Dieu. |
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