Augustine on Vergil: The Poet as Medax Vates

L'A. analyse l'intérêt qu'Augustin voua à Virgile et à l'Enéade à partir du sermon 105, 7 prononcé peu après le sac de Rome en 410; Virgile proclame que l'Empire romain ne connaître pas de fin; toutefois dans les Géorgiques, il n'hésite pas à qualifier Rome de peritura; aussi Augustin le considère-t...

Full description

Bibliographic Details
Author:Carl P. E. Springer
Published: Peeters, Leuven, 1989
Pages:337-343
Format:Essay
Topic:- Biography > Relations and Sources > Platonism - Neo-platonism > Platonism of Varro, Cicero and Virgil > Virgil
Parent Work: Studia Patristica, vol. XXII
Status:Needs Review
Description
Summary:L'A. analyse l'intérêt qu'Augustin voua à Virgile et à l'Enéade à partir du sermon 105, 7 prononcé peu après le sac de Rome en 410; Virgile proclame que l'Empire romain ne connaître pas de fin; toutefois dans les Géorgiques, il n'hésite pas à qualifier Rome de peritura; aussi Augustin le considère-t-il comme un mendax vates, un prophète menteur; détenteur de la vérité - l'Empire n'est pas éternel -, mais refusant par opportunisme de l'exprimer.