Propos d'Augustin sur l'inévitable souillure de l'Église ici-bas

Étude des Tract. in Ioh. 55-58, qui commentent l'épisode du lavement des pieds (Jean 13, 1-15); Augustin composa ces quatre homélies en 416 sans doute, soit à la fin de la crise donatiste, au cours de laquelle la question portant sur l'idéal de perfection de l'Église avait été débattue. Pour l'évêqu...

Descrizione completa

Dettagli Bibliografici
Autore:Rodrique Bélanger
Pubblicazione: Peeters, Leuven, 1989
Pagine:183-187
Formato:Essay
Soggetto:- Dottrina > Da huomo di Dio > Gesù Cristo. Redenzione. Sacramenti. Chiesa. [Grâce.] Mariologia. > [Cité de Dieu. Ecclésiologie] > [Membres de l'Église] > [Généralités] > [Pécheurs dans l'église]
- Dottrina > Da huomo di Dio > Gesù Cristo. Redenzione. Sacramenti. Chiesa. [Grâce.] Mariologia. > [Cité de Dieu. Ecclésiologie] > [Église : thèmes] > Chiesa
Titolo Principale: Papers presented to the Tenth International Conference on Patristic Studies held in Oxford 1987, part IV
Status:Active
Descrizione
Riassunto:Étude des Tract. in Ioh. 55-58, qui commentent l'épisode du lavement des pieds (Jean 13, 1-15); Augustin composa ces quatre homélies en 416 sans doute, soit à la fin de la crise donatiste, au cours de laquelle la question portant sur l'idéal de perfection de l'Église avait été débattue. Pour l'évêque d'Hippone, l'Église, composée d'hommes pécheurs et "contrainte qu'elle est de fouler la terre pour aller ouvrir à l'Époux et pour aller ouvrir le coeur des hommes à la conversion, est frocément exposée à la poussière du monde et aux méfaits de l'iniquité qui abondent ici-bas". Aussi se tourne-t-elle vers le Seigneur pour implorer son pardon. Le geste du lavement des pieds symbolise précisément la remise des souillures terrestres.