Plotinus, Philo and Origen on the Grade of Virtue

L'Auteur commence par traduire et commenter Ennéades I 2 où Plotin définit, peut-être pour la première foir avec cette cohérence, une éthique pour le sage renonçant au monde du platonisme tardif. Les matériaux sont déjà présent dans le Phédon et Théétète, mais Platon n'a pas mis de connexion claire...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteur:John Dillon
Publié: S.n., s.l., 1983
Pages:92-105
Périodique:Jahrbuch für Antike und Christentum
Édition:Suppl. 10. Platonismus und Christentum. Festschrift für Heinrich Dörrie
Nombre:10
Format:Article
Sujet:- Biographie > Relations et Sources > Platonisme. Néo-platonisme > Plotin
Statut:Needs Review
Description
Résumé:L'Auteur commence par traduire et commenter Ennéades I 2 où Plotin définit, peut-être pour la première foir avec cette cohérence, une éthique pour le sage renonçant au monde du platonisme tardif. Les matériaux sont déjà présent dans le Phédon et Théétète, mais Platon n'a pas mis de connexion claire entre la pratique des vertus 'civiques' et le plus haut degré ('cathartique') de vertu. Plotin distingue, à deux niveaux, la vertu du sage et celle de l'homme ordinaire . L'auteur montre les développements de cette doctrine des degrés chez Porphyre et Jamblique et la compare avec les essais similaires de Philon et d'Origène (metropatheia du progressant et apatheia du sage, progrès vers la perfection de chaque vertu qui prend sa place dans la perfecion totale).