VerbuSignum. La définition du langage chez s. Augustin et Nicolas de Cues

La relation entre mot et chose est-elle naturelle ou arbitraire? Ce conflit a donné lieu à diverses variations dans l'histoire de la philosophie du langage. La forme canonique de ce conflit pour le Moyen Age peut être trouvée chez Aug.: d'une part le mot humain est un pur signe, qui ne contribue en...

Full description

Bibliographic Details
Author:Jochem Hennigfeld
Published: S.n., s.l., 1991
Volume:54
Pages:255-268
Periodical:Archives de philosophie
Format:Article
Topic:- Works > Dialogues / Early works > De magistro
- Works > De Trinitate
- Doctrine > Man > [Doctrine de la connaissance] > [Signes. La parole] > Sign
- Doctrine > Man > [Doctrine de la connaissance] > [Signes. La parole] > [Parole/langage/langue]
- Doctrine > Man > [Image de Dieu] > [Image de la Trinité]
- Doctrine > Being > [Nombres]
- Doctrine > God. Trinity > Trinity > [Études d'ensemble (relations)] > Trinity
- Influence and Survival > The Middle Ages (430-1453) > Influence on the various authors and writings > Nicholas of Cusa (1401-1464)
Status:Needs Review
Description
Summary:La relation entre mot et chose est-elle naturelle ou arbitraire? Ce conflit a donné lieu à diverses variations dans l'histoire de la philosophie du langage. La forme canonique de ce conflit pour le Moyen Age peut être trouvée chez Aug.: d'une part le mot humain est un pur signe, qui ne contribue en rien à la connaissance de la chose; d'autre part la production du langage intérieur fournit la plus haute image de la Trinité divine et du Verbum Dei. Dans Idiota de mente Nicolas de Cues parvient à synthétiser ce conceptions opposées.