Porphyrios und Augustin

Cette étude affecte une forme technique qui rebutera plus d'un lecteur. L'auteur, spécialiste des doctrines néo-platoniciennes, y soutient la thèse que, non seulement Augustin ne dépend pas directement de Platon - il ne le connaît pas - mais que de Plotin même il n'a guère qu'une connaissance indire...

Full description

Bibliographic Details
Author:Willy Theiler
Published: M. Niemeyer, Halle (Saale), 1933
Series:Schriften der Köningsberger Gelehrten Gesellschaft. Geisteswissenschaftlichen Klasse
Part:10. Jahr, Heft 1
Notes:CR de Ph. Merlan Porphyrios und Augustin Gnomom 12 (1936), 527-534 Le recenseur prend fort au sérieux le livre de Theiler. Il en fait une analyse détaillée et très documentaire. Il en accepte les conclusions sur la dépendance de Porphyre, mais revendique pour Augustin une réelle originalité.
Total Pages:74
Format:Book
Topic:- Biography > Person and Life > Augustin, the mystic > vision of Ostia
- Biography > Relations and Sources > Platonism - Neo-platonism > General studies > Neo-platonism
- Biography > Relations and Sources > Platonism - Neo-platonism > Plato
- Biography > Relations and Sources > Platonism - Neo-platonism > Plotinus
- Biography > Relations and Sources > Platonism - Neo-platonism > Porphyry
- Biography > Relations and Sources > Profane Greek writers > Proclus
- Works > Doctrinal works > De vera religione
- Works > Confessiones
- Doctrine > God. Trinity > Trinity > [Études d'ensemble (relations)] > Trinity
Status:Needs Review
Description
Summary:Cette étude affecte une forme technique qui rebutera plus d'un lecteur. L'auteur, spécialiste des doctrines néo-platoniciennes, y soutient la thèse que, non seulement Augustin ne dépend pas directement de Platon - il ne le connaît pas - mais que de Plotin même il n'a guère qu'une connaissance indirecte. Son néo-platonisme vient de Porphyre. Le preuve détaillée remplit la première partie du travail. La seconde partie corrige l'impression en montrant, par l'examen des Confessiones, ce qu'Augustin doit à son christianisme.