Le Magna Mater en Afrique

Cybèle a été acceptée en Afrique comme une déesse romaine, identifiée à Caelestis (Tanit). Trois tableaux des monuments figurés et inscrits. C'est en tant que divinité romaine, protectrice et protégée en même temps de l'Etat romain, que la Magna Mater se répand, à partir du milieu du II°s., à trave...

Ausführliche Beschreibung

Bibliographische Detailangaben
VerfasserIn:H. Pavis D'Escurac
Veröffentlicht: S.n., s.l., 1980
Seiten:55-71
Zeitschrift:Bulletin de la Faculté de Théologie protestante de Paris
Nummer:11
Format:Article
Status:Needs Review
Beschreibung
Zusammenfassung:Cybèle a été acceptée en Afrique comme une déesse romaine, identifiée à Caelestis (Tanit). Trois tableaux des monuments figurés et inscrits. C'est en tant que divinité romaine, protectrice et protégée en même temps de l'Etat romain, que la Magna Mater se répand, à partir du milieu du II°s., à travers l'Afrique. En Afrique du Nord, la religion de Cybèle, devenue une véritable religion romaine, se propage par le truchement de Rome, mais s'implante par les racines qu'elle plonge dans la mentalité religieuse africaine. Aussi Cybèle n'apparut point aux Africains comme une divinité orientle, mais comme une divinité féminine nationale, Caelestis.