De Masuna à Koçeila
Les destinées de la Maurétanie aux VIe et VIIe siècles - Discussion
Essai sur l'histoire de la Maurétanie du Ve au VIIe siècle. L'A. invoque le témoignage de saint Augustin sans donner la référence: "Dans un texte de grand intérêt, saint Augustin, au début du Ve siècle, établit une comparaison implicite entre les 'Barbares', qui restent en-dehors de la romanité et c...
Author: | Gabriel Camps |
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Published: |
S.n.,
s.l.,
1985
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Volume: | 19B |
Pages: | 307-325 |
Language: | French |
Notes: | Fascicule B: Afrique du Nord Actes du IIe Colloque international sur l'histoire et l'archéologie de l'Afrique du Nord, réuni dans le cadre du 108e congrès national des sociétés savantes, Grenoble, 5-9 avril 1983. |
Periodical: | Bulletin Archéologique du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques |
Format: | Article |
Topic: | -
Biography
>
Background
>
Northern Africa
>
General historical studies
>
Roman / Christian Africa
>
Mauretania
- Biography > Background > Northern Africa > General historical studies > Byzantine Afrika - Biography > Background > Northern Africa > Invasions of the Vandals - Biography > Background > Northern Africa > Augustine and Afrika > Augustine and Punic Africa |
Status: | Needs Review |
Summary: | Essai sur l'histoire de la Maurétanie du Ve au VIIe siècle. L'A. invoque le témoignage de saint Augustin sans donner la référence: "Dans un texte de grand intérêt, saint Augustin, au début du Ve siècle, établit une comparaison implicite entre les 'Barbares', qui restent en-dehors de la romanité et conservent leurs rois, et ceux qui, rattachés à l'Empire romain, ont à leur tête des préfets nommés et commencent ainsi que leurs préfets à devenir chrétiens" (p.309); cf. Augustin, Epist, 199, XII, 46 (CSEL, 57, 9.284-285).
On notera la conclusion qui invite les historiens à la prudence: "Il n'est guère possible de tirer de cet ensemble de documents disparates, d'interprétation souvent difficile, une connaissance satisfaisante de cette période vraiment obscure du Ve au VIIe siècle en Maurétanie (...). Les rares faits qui semblent acquis sont le maintien des cités romaines et de la langue latine, une expansion certaine du christianisme qui se répand désormais chez les Maures et les populations qui avaient échappé, antérieurement, au contrôle de Rome" (p.320). |
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