Recherches sur les LXXXIII Diverses Questions d'Augustin (2)

Questions 61, 64 et 65

Les Questions 61, 64 et 65 du De diuersis questionibus LXXXIII d'Augustin commentent les récits évangéliques de la multiplication des pains, de la Samaritaine et de Lazare. La copmaraison de ses explications avec celles des autres auteurs anciens montre que, si Augustin fait toujours une synthèse or...

Full description

Bibliographic Details
Author:Martine Dulaey
Published: S.n., s.l., 2007
Volume:53
Pages:35-64
Language:French
Periodical:Revue d'études augustiniennes et patristiques
Number:1
Format:Article
Topic:- Works > Doctrinal works > De diversis quaestionibus 83 > div. qu. 65
- Doctrine > From man to God > Divine revelation > Exegesis > [Exégèse des textes du Nouveau Testament] > [Matthieu]
- Doctrine > From man to God > Divine revelation > Exegesis > [Exégèse des textes du Nouveau Testament] > Luke
- Doctrine > From man to God > Divine revelation > Exegesis > [Exégèse. Personnages. Lieux. Thèmes] > [Personnages] > [Lazare]
- Doctrine > From man to God > Divine revelation > Exegesis > [Exégèse. Personnages. Lieux. Thèmes] > [Personnages] > [Samaritaine]
- Works > Doctrinal works > De diversis quaestionibus 83 > div. qu. 61
- Works > Doctrinal works > De diversis quaestionibus 83 > div. qu. 64
Status:Active
Description
Summary:Les Questions 61, 64 et 65 du De diuersis questionibus LXXXIII d'Augustin commentent les récits évangéliques de la multiplication des pains, de la Samaritaine et de Lazare. La copmaraison de ses explications avec celles des autres auteurs anciens montre que, si Augustin fait toujours une synthèse originale, il a assimilé les idées de plusieurs de ses prédécesseurs. Certaines exégèses grecques (Hippolyte, Origène), lui sont vraisemblement connues à travers les prédications d'Ambroise, la Samaritaine et Lazare faisant partie des lectures du temps de la catéchèse à Milan. Augustin a de plus utilisé les Homélies sur Luc d'Origène, des écrits d'Ambroise comme le De paenitentia et l'Expositio in Lucam, le Contre Marcion de Tertullien, et un commentaire sur Matthieu qu'avait déjà lu Hilaire.