Quae non licet homini loqui
The Ineffability of Mystical Experience in "Paradiso I" and the "Epistle to Can Grande"
La "lettre à Can Grande" de Dante (attribution douteuse, rappelée par l'A.) se réfère à Richard de Saint Victor, à Bernard de Clairveux et à Augustin d'Hippone pour justifier que l'expérience mystique est possible et ineffable pour l'homme, et notamment pour Dante même dans le "Paradis". L'A. discut...
Author: | Steven Botterill |
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Volume: | 83 |
Pages: | 332-341 |
Periodical: | The modern language review |
Number: | 2 |
Format: | Article |
Topic: | -
Biography
>
Person and Life
>
Augustin, the mystic
- Works > Dialogues / Early works > De animae quantitate - Influence and Survival > The Middle Ages (430-1453) > Influence on the various authors and writings > Dante Alighieri (1265-1321) |
Status: | Needs Review |
Summary: | La "lettre à Can Grande" de Dante (attribution douteuse, rappelée par l'A.) se réfère à Richard de Saint Victor, à Bernard de Clairveux et à Augustin d'Hippone pour justifier que l'expérience mystique est possible et ineffable pour l'homme, et notamment pour Dante même dans le "Paradis". L'A. discute la pertinence du recours à ces trois garants. |
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